Il y a plusieurs éléments à prendre en considération pour vous assurer de ne pas vous précipiter dans la réalisation d’une enquête :
Il y a plusieurs éléments à prendre en considération pour vous assurer de ne pas vous précipiter dans la réalisation d’une enquête :
-
Préparation organisationnelle au changement
Une fusion, une négociation collective ou une pandémie sont autant de facteurs internes ou externes qui peuvent rendre plus difficile la prise de mesures. Dans ce cas, vous pourriez vouloir reporter l’enquête jusqu’à ce que votre organisation soit prête à passer à l’action.
-
Obtenir l’adhésion
Il est important que les dirigeants voient l’importance de s’occuper de la santé et de la sécurité psychologiques avant que l’enquête ait lieu, afin de s’assurer qu’ils sont déterminés à agir.
-
Gérer les attentes des employés
Communiquer avec le personnel dès le début et tout au long du processus peut améliorer la participation et la mobilisation. Cela donne également aux employés le temps de poser des questions ou d’exprimer leurs inquiétudes.
-
Temps et effort
Estimez le temps et les efforts requis pour effectuer l’évaluation, analyser les résultats et mettre en œuvre efficacement le changement.
-
Exigences imposées aux employés et aux dirigeants
Une fois les résultats obtenus, vous voudrez mobiliser les employés et les dirigeants pour apporter des changements qui améliorent pour tous la santé et la sécurité psychologiques au travail. S’ils n’ont pas le temps, en raison de demandes concurrentes, ce n’est peut-être pas le moment de mener l’enquête.
-
Élaborer un plan d’action immédiate
Le jour où vous terminerez l’enquête, vous devriez être prêt à démontrer votre engagement à l’égard des changements en matière de santé et de sécurité psychologiques. Il pourrait s’agir simplement d’envoyer des courriels, d’organiser des ateliers ou de lancer une nouvelle initiative. Ne rien faire pendant une semaine ou plus peut accroître le cynisme des employés.